Wednesday, March 2, 2011

COMIC BOOKS GO TO WAR & BASQUIAT


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Today I again chose two movies from the competition at the 2011 FIFA, the 29th year anniversary of the Festival that begins March 17 until March 27 2011. The first one I saw was COMIC BOOKS GO TO WAR a movie by MARK DANIELS that examines the increasing impact of the comic book genre on the reporting of the war. The genre was an original concept by KEIJI NAKAZAWA who recounted his experience of the bombing of HIROSHIMA in a comic strip series, BAREFOOT GEN, published in several magazines between 1973 to 1985 and then turned into successful comic books. JOE SACCO brought the genre to AMERICA in 1992 with his comic book entitled PALESTINE. The film explores the journeys of a few of these daring artists who use this art form to tell us the most disturbing stories about events going on all over the world. Not for the meek, this film is very graphic. I found it quite compelling.

Then I watched BASQUIAT, UNE VIE (A LIFE) a film by JEAN MICHEL VECCHIET. I chose this film because JEAN-MICHEL BASQUIAT is a mysterious figure of the contemporary art scene even though he reached fame and wealth very rapidly in the 1980s. I loved to see him move on the screen, he had a way of moving, an elegance about him that is completely charismatic. Check the clip above. We have these great scenes because GLENN O'BRIEN asked him to be in EDO BERTOGLIO's movie DOWNTOWN 81. Throughout the film I got to understand the mystique I felt about this elusive artist who died so young, age 28. He did personal voodoo rituals when visiting big New York museums, he dated MADONNA before she was famous, you must see MADONNA's face when she is sitting in a café with BASQUIAT. You will see the gorgeous photo session for the photograph of him that was published on the cover of the NEW YORK TIMES MAGAZINE in 1985, you will see many of his works that are rarely seen in public because he was a collector's artist and his works are already in private collections.
I LOVED IT!

-Lena Ghio

FRANÇAIS

Aujourd'hui j'ai encore choisi deux films qui sont en compétition au FIFA 2011, le 29 ième anniversaire du Festival qui commence le 17 Mars et se termine le 27 Mars 2011. Le premier film que j'ai vu s'intitule COMIC BOOKS GO TO WAR un film par MARK DANIELS qui examine l'impacte grandissant de la Bande Dessinée comme outil de reportage de la guerre. Le genre est un concept original de KEIJI NAKAZAWA qui raconte son expérience de la bombe atomique lancée sur HIROSHIMA dans une série de BD intitulée BAREFOOT GEN, publiée dans plusieurs magazine entre 1973 et 1985 pour être ensuite transformée en livres de BD très populaires. JOE SACCO apporte le genre en AMÉRIQUE en 1992 avec sa BD intitulée PALESTINE. Le film explore les voyages de quelques-uns de ces artistes audacieux qui se servent de leur art pour nous raconter les histoires les plus dérangeantes qui se passent autour du monde. Ce film n'est pas pour les faibles, il est très graphique. Je l'ai trouvé irrésistible.

J'ai ensuite regardé BASQUIAT, UNE VIE un film par JEAN MICHEL VECCHIET. J'ai choisi ce film parce que JEAN-MICHEL BASQUIAT est une figure mystérieuse de la scène de l'art contemporain même s'il a atteint la gloire et la richesse très rapidement dans les années 1980. J'ai aimé le voir bouger sur l'écran, il avait une façon de se mouvoir, une élégance inné qui le rendait totalement charismatique. Regardez le clip plus haut. Nous avons ces merveilleuses image de l'artiste à cause que GLENN O'BRIEN lui a demandé d'être dans le film de EDO BERTOGLIO, DOWNTOWN 81. Le film m'a fait comprendre le mystique que je percevais à propos de cet artiste insaisissable qui est mort si jeune à l'âge de 28 ans. Il faisait des petits rituels voodoo quand il visitait les grands Musée de New York, il a eu une liaison avec MADONNA avant qu'elle soit célèbre, il faut voir le visage de MADONNA assise à un café aux côtés de BASQUIAT. Vous verrez la délicieuse prises de photos pour la couverture du NEW YORK TIMES MAGAZINE publié en 1985, et surtout vous verrez plusieurs de ses oeuvres qui sont rarement vues en publique parce qu'il a été vendu si rapidement que ses oeuvres sont presques toutes dans des collections privées. J'AI ADORÉ!

-Lena Ghio

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