DISSECTIONS-GEOFFREY SMEDLEY @ CCA

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On June 6 2013, I was invited to the Canadian Centre for Architecture to visit the new exhibition  Dissections with Vancouver-based artist GEOFFREY SMEDLEY. It is in effect a uniquely complex installation of four sculptural works. Inspired by RENÉ DESCARTES this series regroups the mechanized works around the theme of the CLOWN. As Geoffrey Smedley tells us "... each piece is an organ of the Clown, the human becoming mechanized." There is Escapement, the organ of endurance, for example. A complex piece that repeats a completely useless motion over and over.

To accompany the exhibition there is an intriguing catalogue by the same name Dissections. It is perfectly square, black, with white font. The catalogue becomes another "object" instead of merely a book with text. I love that it features many photos of the artists work. And then there are the texts. Sometimes I found myself in philosophical musings, other times I felt I was reading a macabre short story à la EDGAR ALLEN POE. I love that the articles are one page each. This makes it the ideal table book.

FABRIZIO GALLANTI curated the exhibition that will be showing until August 11 2013.

-LENA GHIO

FRANÇAIS

Vue de l'exposition,
Dissections-Geoffrey Smedley, 2013
©CCA Montréal

 

Ce 6 juin dernier, je suis invitée à faire la visite de la nouvelle exposition Dissections avec l’artiste GEOFFREY SMEDLEY au Centre Canadien d’Architecture. C’est en effet une installation uniquement complexe de quatre installations sculpturales. Inspiré par RENÉ DESCARTES, l’artiste basé à Vancouver, regroupe dans cette installation une série d’œuvres mécanisées qui évoquent le thème du clown. Tel que nous raconte Geoffrey Smedley « … Chaque pièce est un organe du clown, l’humain devenant mécanisé. » Il y a par exemple Escapement (l’échappement) l’organe de l’endurance. C’est une pièce complexe qui répète sans cesse les mêmes gestes inutiles.

Pour accompagner l’exposition un catalogue intriguant portant le même nom Dissections. Il est parfaitement carré, noir avec du lettrage blanc. Le catalogue devient un « objet » au lieu d’un simple livre avec texte. J’adore qu’il contienne beaucoup d’images du travail de l’artiste. Ensuite, il y a les textes. Quelquefois je me perdais dans des interrogations philosophiques et à d’autres moments, je me croyais au cœur d’une histoire macabre à la EDGAR ALLEN POE ! J’adore que les articles soient une page chacun. Ceci est le livre de table idéal.

FABRIZIO GALLANTI est le commissaire de l'exposition qui durera jusqu'au 11 août 2013.

-LENA GHIO