Thursday, January 30, 2014

PETER DOIG


At the press conference, legendary hockey stars of the Montreal Canadians,  GUY LAFLEUR and RÉJEAN  HOULE,  present YVAN COURNOYER's jersey to PETER DOIG / Lors de la conférence de presse, les étoiles légendaires du Canadien de Montréal, GUY LAFLEUR et RÉJEAN HOULE, présente le chandail d'YVAN COURNOYER à PETER DOIG.// From left to right/ De gauche à droite: NATHALIE BONDIL, GUY LAFLEUR, PETER DOIG, RÉJEAN HOULE, STÉPHANE AQUIN.  © LENA GHIO


NULLE TERRE ÉTRANGÈRE 25 Janvier - 4 Mai 2014
NO FOREIGN LANDS January 25 - May 4 2014

Français plus bas


As you arrive on top of the stairs at the Montreal Museum of Fine Arts, the palette of vibrant colors used by PETER DOIG in his immense, misty canvases suddenly arouses your senses. In his steamy world there are no women only water, bodies of water, haze. There are men traveling in groups in rowboats, resting in rowboats or playing on the beach.
One of my favorite corners of the show. /
Un de mes coins favorits de l'exposition.
© Lena Ghio

I asked Peter Doig how he would characterize his style. Although he will not say 100% that it is expressionist, he said he certainly does feel a kinship between his work and that style. “ I paint landscapes with things in the back.” The artist is much traveled and it is his intention that the work reflects how various locals inspired his canvases. He is also influenced by the weather and how it changes the landscape. The results are quite appealing to the eye and the soul. The exhibition ends with a display of his work process and how he evolved as a painter.

A luxurious catalogue you will be proud to own accompanies the exhibition. It is rich with images and texts that will help you understand the totality of Peter Doig’s art.


FRANCINE GRIMALDI semblait
émerger de cette magnifique toile!
© Lena Ghio
FRANÇAIS


 Alors qu’on arrive en haut de l’escalier au Musée des Beaux Arts de Montréal, la palette de couleurs vibrante qu’emploie PETER DOIG dans ses immenses toiles brumeuses éveille soudainement les sens. Dans ce monde embué, il n’y a pas de femmes seulement de l’eau, des étendues d’eau, le brouillard. Il y a des hommes qui voyagent en groupes dans les chaloupes, ils dorment dans les chaloupes ou s’amusent sur la plage.

J’ai demandé à Peter Doig comment il caractériserait son style. Quoiqu’il ne dit pas qu’il est 100% expressionniste, il dit qu’il ressent une parenté entre son travail et cette forme. «Je peins des paysages avec des choses à l’arrière-plan. » L’artiste a beaucoup voyagé et c’est son intention que son œuvre reflète comment les localités variées ont inspiré ses toiles. Il est aussi influencé par la température et son impact sur le paysage. Les résultats sont très séduisants pour l’œil et pour l’âme. L’exposition se termine avec un étalage d’exemples de son processus de travail et de son évolution de peintre.

Un luxueux catalogue que vous serez fier de posséder accompagne l’exposition. Il est riche en images et en textes qui vous feront comprendre la totalité de l’œuvre de Peter Doig.

-LENA GHIO


CONGRATULATIONS to KAREN TAM who has been awarded the first ever residency at the Museum for an artists of Montreal's Cultural Diversity in the project EMPREINTES.

FÉLICITATIONS à KAREN TAM qui s'est méritée la première résidence pour une artiste de la Diversité Culturelle à Montréal au Musée dans le projet EMPREINTES.

Tuesday, January 28, 2014

EMERGE ART P.249

P.249 © 2014 Lena Ghio/ le livre/the book: Extrême: L'Esthétique des limites dépassées/Paul Ardenne
la photo/the photo Valie Export performance Action Pants: Genital Panic, 1969

EMERGE ART
APRIL 21 2014 to May 4 2014
21 AVRIL 2014 au 4 Mai 2014
@ 514 Édifice BELGO Building
372 Sainte-Catherine Ouest, Montréal

Emerge Art Genesis/ Genèse : 1  2  3


ENGLISH BELOW


À la mi-décembre, dans mes nouvelles Facebook, j’apprends que le livre de PAUL ARDENNE EXTRÊME : L’ESTHÉTIQUE DES LIMITES DÉPASSÉES sera inclue dans la troisième édition Le livre de ma vie présentée par Payot. J’avais déjà vu ce titre par Paul Ardenne, mais il me faisait peur. Je n’avais pas le goût de plonger dans la violence et la décadence de l’image contemporaine. Mais le temps était arrivé où je devais confronter l’ombre de ma psyché dans ses profondeurs absolues. Ce livre me permettait de le faire en quasi-sécurité. Je ne pouvais contredire aucun élément monstrueux regardé objectivement par l’auteur. Le livre est dur, sans recul, sans merci, et analyse tout en détail. Le pire fait du sujet observé dans le texte; la violence et la dégradation de l’humain sous toutes ses formes; est qu’il s’est magnifié avec par exemple le viol de jeunes filles par des groupes de jeunes hommes qui en font des vidéos à publier sur les sites sociaux.

J’ai fait l’expérience de réaliser un EMERGE ART avec comme toile de fond le livre ouvert Extrême : L’esthétique des limites dépassées. Les résultats sont captivants. Je vous présente ici P. 249, 2014.

Un livre ouvert et un bol d’eau sont les objets tangibles de la photo intitulée P.249 qui est aussi un Emerge Art. La photo de gauche est celle de l’artiste Autrichienne VALIE EXPORT dans sa performance dramatique Action Pants : Genital Panic, 1969. Son intention était de dénoncer l’objectification des femmes dans les films pornographiques. Son exploit stupéfiant était d’entrer dans un cinéma de film X armée d’une mitraillette, portant des pantalons sans fourche, pour confronter les hommes voyeuristes dans leur rituel de consommation du film cochon et sa suite autoérotique.

Elle demandait aux spectateurs de regarder son vagin pour qu’ils puissent en voir un vrai. Plusieurs hommes se sont poussés en courant.

L’Emerge Art est une image qui se soulève dans un bol d’eau. Un phénomène inexpliqué à ce point, l’Emerge Art présenté plus haut reflète le message que veut transmettre Valie Export.

Il y a trois scénarios principaux dans l’eau. À gauche, dans l’ombre, un motif à croisillons qui forme plusieurs visages aboutit au centre comme un visage masculin ombragé mais très visible. L’homme est dans la noirceur, captivé par la vue d’un éphémère torse féminin à la droite. Sa contenance est émaciée avec de minces lèvres tournées vers le bas et des joues creuses. Il a l’air malade, ce dont veut nous faire part Valie Export avec sa performance.

Le torse à droite est jeune et bien formé avec des seins voluptueux, une taille fine et un abdomen ferme. Les ombres sur le torse semblent suggérées l’action du déshabillage. Il n’y a pas de tête, pas de bras, pas de mains et pas de jambes. Une autre réflexion qui agace Valie Export : les hommes obsédés par le porno font abstraction du visage féminin pour ne pas être distrait du rôle qu’elle joue dans ce contexte, celui d’être une machine sexuelle, dont on se sert et que l’on consume sans empathie ni souci, le raisonnement étant, qu’après tout, elle est payée pour sa dégradation publique.
Au centre du bol d’eau, une petite silhouette d’une femme bien proportionnée, avec des bras et des jambes, se tient dans une portion illuminée de la rue évoquant la fille de rue mais aussi Valie Export qui arrive au cinéma de film X avec sa mitraillette.

Le contenu de P.249 est un puissant modèle du Yin Yang. Le livre, les écrits et la photo de la performance de Valie Export forment la portion dominante Yang de l’œuvre, masculine et ardente, indéniablement réelle. Le bol d’eau est la portion Yin, féminine et réceptive, inconcevable. Tel l’utérus, l’eau à l’intérieur du bol est inséminé et produit des images qui reflètent le sujet décrit par l’objet Yang.

P.249 est conflictuel pour l’intellect. Est-ce que le sujet de la pièce est la condition féminine? Est-ce l’interminable bataille des sexes? Ou est-ce le phénomène inconcevable de l’eau qui exprime la cognition?

P.249 nous captive par la qualité hypnotique de l’eau. Le cerveau a tendance à vouloir  arriver à un accord avec la possibilité irrationnelle que c’est l’eau qui forme l’image à l’intérieur du bol. Ceci nous fait regarder de plus proche ce qui se passe là, et nous fait regarder encore. 
P.249  détail

ENGLISH


An open book and a bowl of water are the tangible objects of the photograph entitle P. 249, also an Emerge Art.

The book is Extrême: Esthétiques de la limite dépassée written by French art critic Paul Ardenne. On the left page is a photo of Austrian artist Valie Export in her unforgettable performance Action Pants: Genital Panic, 1969. Her intention was to decry the objectification of women in pornographic movies. Her stunning exploit was to walk into a triple X movie theatre armed with a machine gun, wearing a pair of pants cut open at the crotch to confront voyeuristic men deep in their ritualized consumption of porn with subsequent self-pleasuring.

She asked some of the patrons to look at her exposed vagina so they could see what a real one looked like. Many men ran away from her.

The Emerge Art is the image rising up in the bowl of water. An unexplained phenomenon at this point, the Emerge Art presented above clearly reflects Valie Export’s message.

There are three main scenarios in the water. On the left, in the shade, a crisscross motif that shapes many faces culminates in the center as one shadowy but clearly visible male face. The man is in the dark, riveted by an ephemeral female torso on the right. His countenance is gaunt with thin down turned lips and sunken cheeks. He looks sick which is what Valie Export is intimating at with her performance.

The torso on the right is youthful and well formed with firm full breasts, a slender waist and a firm abdomen. Shaded areas on the torso suggest the motion of undressing. There is no face, no arms, no hands and no legs. Another reflection of what bothers Valie Export: men obsessed with porn abstract the female face so as not to be distracted from the role she is given in this context, that of being a sexual machine, to be used and consumed without empathy or concern, the reasoning being that, after all, she is getting paid for this public debasement.

In the center, of the bowl of water, a tiny silhouette of a shapely woman, with arms and legs, stands in a lighted portion of a city street evoking the streetwalker and also Valie Export as she arrives to the triple X cinema with her machine gun.

The content of P. 249 is a powerful Yin Yang motif. The book, the words and the photograph of Valie Export’s performance form the dominant Yang portion, masculine and fiery, undeniably real. The bowl of water is the Yin portion, feminine and receptive, inconceivable. Like a womb the water inside the bowl is inseminated and produces images that mirror the subject matter of the Yang object.

P. 249 is conflicting to the intellect. Is the feminine condition the subject of the piece? Is it the endless battles of the sexes? Or is it the inconceivable phenomenon of water expressing cognition?

P. 249 takes us in because of the mesmerizing quality of water. The brain has a tendency to attempt to come to terms with the incongruent possibility that water is forming the images inside the bowl. This makes us look closer at what is happening there, and then look again.

-LENA GHIO

Sunday, January 26, 2014

LE CAPITAL

Gad Elmaleh dans le rôle de Marc Tourneuil
Ce film de COSTA-GAVRAS est un thriller qui tourne autour du monde de la haute finance et de l'enjeu de ses intrigues. GAD ELMALEH incarne Marc Tourneuil, un cadre qui se voit offrir la présidence de la Banque Phénix alors que son patron est retrouvé mort. GABRIEL BYRNE joue le rôle de Dittmar Rigule, un investisseur américain qui tente de manipuler Tourneuil pour le bénifice d'un groupe d'investisseurs. Le jeu est serré et à point. L'action du film, les décors richissimes, les voyages autour du monde illustre bien cet univers de jet-setters. Tourneil devient obsédé par la top modèle Nassin interprétée par LILA KEBEDE. C'est l'action la moin intéressante du film. Tout ce chichi pour une baise maladroite et insatisfaisante enlève du glamour au film mais il demeure un récit excitant et très actuel.

-LENA GHIO

Tuesday, January 14, 2014

Eva Brandl BIRDS OF PREY they own the night / they own the day January 6–February 14, 2014

For Information

EVA BRANDL
Birds of Prey
They own the night/
They own the day

Eva Brandl’s intent, to arouse a mnemonic experience of space, has succeeded for me.

I am standing in the doorway assessing the contents inside the exhibition hall. A combination of sounds, digital prints and sculptural objects fill the space. My first phenomenological reaction to the installation is that of a long ago buried memory of being in a fabric store with my mother as a child.

The intent of my presence there was to find a work I could describe in detail but it didn’t quite work out that way. I was involved with the total content as one piece. I zeroed in on a work entitled Curtain Wall. It is a sculptural object that looks like rows of fabric, as you would find them in a fabric store. The piece is composed of cardboard tubes held up by tripods and covered with chamois leather.

I go deeper inside the memory being evoked. I can almost see my mother hovering over the fabrics she desired, touching them, evaluating her budget, imagining what she would conjure up with it, where her creation would be in her universe: a dress at a social event, a curtain in her kitchen, chairs covered to look new again? As a child, I was bored and exasperated waiting after her so I could be taken out of this heavy obsolete place.

The exhibition is accompanied by huge digital prints of taxidermy birds of prey with eyes firmly set upon their kill. Of course they are looking right at you as you move in the space. I was still in the fabric store with my mother so for me they became curtains, couches, and bedspreads.

I listened to the howl sounds as I stood between two cones a large stunned bird looking at me. But I felt the deadness of the animal. These are taxidermy animals, the hoots are a recording, I am bemused that memories from my childhood resurface to consciousness like ancient artifacts in the desert because of the juxtaposition of the objects.

From this position, I begin to search for the soul of the exhibition. I return to the sculptural object Curtain Wall because it is the singular object that defines the way I experienced the totality of the exhibition. I am now seeing more details like the natural colors of the chamois leather, its softness; I notice that there are three tripods and they are black; I notice that this object does not quite fit with the prints on the wall that are on strong sharp canvases or the other sculptural objects that are of mat aluminum. But this is the one object that took me on a time travel expedition where I was again a child walking through a fabric store with her long gone mother.

-LENA GHIO

Monday, January 13, 2014

CASABLANCA CHANDIGARH @ CCA

Commissioned by the Canadian Centre for Architecture,
Commande du Centre Canadien d'Architecture,
Montréal © Yto Barrada
Français plus bas

HOW ARCHITECTS, EXPERTS, POLITICIANS, INTERNATIONAL AGENCIES, AND CITIZENS NEGOTIATE MODERN PLANNING: CASABLANCA CHANDIGRAH From 26 November 2013 to 20 April 2014 @ CCA


One of the most inspiring exhibitions I have seen in years! Since I visit the Canadian Center for Architecture I am more and more amazed at the work of architects. I had never realized how much a great architect needed to know and consider about a region and its inhabitants.

Co-curators TOM AVERMAETE, a Professor of Architecture at the TU Delft, and MARISTELLA CASCIATO, Associate Director of Research at the CCA, combined their efforts to bring us through the elaborate process of urban renewal in two distinct regions: Casablanca in Morocco and Chandigarh in India. As they accompanied us through the exhibition they explained that their concept was inspired by the need to provide us with models for our contemporary urban renewal concerns.

The co-curators used the works of world-renowned architects: MICHEL ÉCOCHARD and his team in Casablanca, LE CORBUSIER, PIERRE JEANNERET, MAXWELL FRY and JANE DREW plus local architects in Chandigarh to demonstrate the methods employed by the UN in the 1950s to revitalize regions that were in serious urban decay. The idea of modernism is the inspiration behind the creation of a “ new” urbanism that is flourishing to this day in those cities.

I began my visit sitting at a round table, reading a text by Ernest Weissmann, Director of Centre for Housing Building and Planning. The title of the document is: THE URBAN CRISIS Its Meaning for Development from the UN Monthly Chronicle.  I found the texts reproduced for the exhibition enormously enlightening. The installation provides good insight on how the above-mentioned professionals bring together ideas that will change the daily lives of so many. I looked at a series of booklets under the title Village Problem. Each one outlined a serious problem faced by the community, its causes, and strategies to find solutions.

Almost every problem that was addressed began with the people having lost their motivation and appreciation for the various benefits of a good standard of living. Whether it was sanitary water, well kept houses, roads, even eating healthy foods. These are the same issues faced by communities today. In the worst slums, people have lost the desire to regenerate their environment because the greater mass of the inhabitants is simply not motivated for one reason or another.

CCA
The other element of the exhibition I found very informative is the presentation board used by the architects to present the accumulated data to the UN. Again the extraordinary attention to every facet of human life, from the shopping mart to the places of worship, gave me an occasion to reflect on my own issues within a larger context.

We are taken through each step of two large-scale projects that transformed shantytowns into thriving cities, modern, neat, accommodating!

FRANÇAIS

COMMENT LES ARCHITECTES, LES EXPERTS, LES POLITICIENS, LES AGENCES INTERNATIONALES ET LES CITOYENS NÉGOCIENT L'URBANISME MODERNE: CASABLANCA CHANDIGARH, du 26 novembre 2013 au 20 avril 2014 @ CCA


 Une des expositions les plus inspirante que j’ai vu cette année! Depuis que je visite le Centre Canadien d’Architecture, je suis de plus en plus impressionnée par le travail que font les architectes. Je n’avais jamais réalisé tout ce qu’un bon architecte doit connaître sur une région et ses habitants.

Les commissaires TOM AVERMAETE, professeur d’architecture à l’Université de technologie de Deft, et MARISTELLA CASCIATO, directeur associé du Centre d’étude du CCA, ont combiné leurs efforts pour nous mener à travers le processus élaboré du renouvellement urbain de deux régions distinctes: Casablanca au Maroc et Chandigarh en Inde. Alors qu’ils nous accompagnaient à travers l’exposition, ils nous ont expliqué que leur idée avait été inspirée par le besoin de nous fournir des modèles pour nos soucis actuels de renouvellement urbain.

Les commissaires se sont servi du travail de deux architectes de renommée internationale : MICHEL ÉCOCHARD et son équipe à Casablanca, LE CORBUSIER, PIERRE JEANNERET, MAXWELL FRY et JANE DREW en plus d’architectes locaux à Chandigarh pour démontrer les méthodes employées par les Nations Unies dans les années 1950 pour revitaliser des régions en sérieux délabrement urbain. L’idée du modernisme est l’inspiration derrière la création du “ nouveau”  urbanisme qui fleurit à ce jour dans ces villes.

J’ai commencé ma visite assise autour d’une table ronde, lisant un texte d’Ernest Weissmann, directeur du Centre for Housing Building and Planning. Le titre du document est: THE URBAN CRISIS Its Meaning for Development from the UN Monthly Chronicle. Je trouve des textes reproduits pour l’exposition extrêmement révélateurs. L’installation fournit un aperçu important sur les méthodes employées par les différents professionnels mentionnés plus haut qui assemblent des idées qui changeront la vie quotidienne de tant de gens. J’ai regardé avec intérêt une série de carnets sous le titre Village Problem. Chacun des livrets soulignait un sérieux problème que la communauté devait résoudre, ses causes, et des stratégies pour trouver des solutions.

Presque tous les problèmes qui y étaient adressés commençaient par le monde qui avait perdu leur motivation et leur appréciation pour les bénéfices variés d’un bon standard de vie. Que ce soit la qualité de l’eau, la maintenance des maisons, des routes, même manger de la nourriture saine. Ce sont les mêmes questions qui sont confrontées dans plusieurs communautés contemporaines. Dans les pires taudis, les gens ont perdu leur désir de régénérer l’environnement parce que la plus grande masse des habitants n’est tout simplement pas motivée pour une raison ou une autre.

L’autre élément de l’exposition que j’ai trouvé très informatif  est le tableau d’introduction de projet dont se servaient les architectes pour présenter les données accumulées aux Nations Unies. Encore l’attention extraordinaire à toutes les facettes de la vie humaine, du centre d’achat au lieu de culte, me donne une occasion de réfléchir à mes propres problèmes dans un plus large contexte.

On nous transporte à travers chaque étape de deux projets de réaménagement urbains d’envergures qui transforment des bidonvilles en cités modernes, prospères, propres et accommodantes!

-LENA GHIO 

Wednesday, January 8, 2014

AUGUST OSAGE COUNTY/ LE TEMPS D'UN ÉTÉ

Julianne Nicholson, Meryl Streep, Julia Roberts


Opening this Friday January 10 2014, this movie is all about the craft of acting. The cast is superb: MERYL STREEP, JULIA ROBERTS, IWAN McGREGOR, CHRIS COOPER, ABIGAIL BRESLIN, BENEDICT CUMBERBATCH, JULIETTE LEWIS, MARGO MARTINDALE, JULIANNE NICHOLSON and more. It is a very dark comedy but it is strangely evocative of the dysfunction that affects any family in the world. Secrets and lies are revealed and many hearts are broken. Benedict Cumberbatch is excellent in his portrayal of a timid adult. I just love Margo Martindale anytime I see her, she never disappoints. Of course the two stars, Meryl Streep and Julia Roberts,  are equal to their reputations and provide an emotion packed exchange between mother and daughter as they attempt to forge some kind of bond. This film is produced by GEORGE CLOONEY.

-LENA GHIO

Thursday, January 2, 2014

FOR THE YEAR 2014 // POUR L'ANNÉE 2014

EMERGE ART  Dirty Little Secrets © 2014 Lena Ghio
Français en bas

A study of the impact of celestial mechanics on the human condition for the year 2014.



This is not a year of sweet tenderness and abundance, but one of violence and scarcity, impatience and headaches. It will be hard on everyone around the world. The good news is: there will be extraordinary creativity and new solutions to problems that have been plaguing us.

The most important question to ask yourself is: What do I want to have created at the end of this year? This will help you fashion a vision you can use as a beacon through the dark times.

This year will be the last 90˚ angle between Pluto and Uranus, two planets that configure prominently in times of great changes. The last era when these two planets formed a 90˚ angle with Uranus in Aries, ADOLF HITLER was rising into power seeding disaster! In  2012, hurricane Sandy, the most expensive disaster to hit the Eastern seaboard of the USA happened in a close 90˚ alignment between the two. The alignment has been rolling back and forth for the last two years now and this year the culmination is attained. And it is spectacular with the full force of the approaching New Moon in Capricorn, a conjunction with Pluto and Mercury while being stressed by the opposition of Mars in house 1 to Uranus in either house 6 or 7 depending on the country. Jupiter in house 10 or 11, depending on the country, crowns the whole composition. The few good aspects are rendered very weak through interception.

In plain English: the chessboard is set for battle, enemies reveal themselves in aggressive and impulsive behaviors, what is at stake are the resources of the Earth itself! There just won’t be enough to go around for one reason or another. There will be political wrangling over ownership of the Earth, there will be difficulties in transportation, there will be strikes, and there will be major health crisis directly related to the stress of the times. One political figure will suffer a sudden death, perhaps through accident on the road or head injury, that will have major consequences on the whole planet. We are in for a bumpy ride.

Bach Flower Essences that can assist those interested:
for Mars in Libra: Scleranthus, Uranus in Aries: Cherry Plum and Impatiens, for the stellium in Capricorn: Mimulus, Aspen and Rock Rose, Jupiter in Cancer: Clematis. This combination will provide clarity and nerves of steel. Now Good Luck, IT IS ON!!!

-LENA GHIO

FRANÇAIS

Une étude sur l'impact de la mécanique céleste sur la condition humaine pour l'année 2014.



Ce ne sera pas une année de gentillesse et d’abondance, mais une de violence et de pénurie, d’impatience et de maux de tête. Elle sera dure pour tout le monde autour de la terre. La bonne nouvelle: il y aura une créativité foisonnante et des nouvelles solutions à certains problèmes qui nous harcèlent depuis longtemps.

La question la plus importante à se demander est : Qu’est-ce que je veux avoir crée à la fin de cette année? Ceci vous aidera à façonner une vision qui vous illuminera durant les moments sombres.

Cette année se manifestera la dernière rencontre de Pluton et Uranus en angle de 90˚, deux planètes qui configurent bien en évidence quand s’opèrent de grands changements. Le dernier épisode où ces deux planètes formaient un angle de 90˚, avec Uranus dans le Bélier, coïncide avec l’ascension au pouvoir d’ADOLF HITLER et son règne de terreur. En 2012, la tornade Sandy, le désastre naturel le plus coûteux aux Etats-Unis à date, frappe la côte est de la nation quand l’alignement de 90˚ entre les deux planètes est tout proche. L’alignement a roulé d’avant arrière  depuis les dernières deux années et maintenant c’est la culmination qui sera atteinte. Et elle sera spectaculaire avec la pleine force de la Nouvelle Lune en Capricorne qui approche, une conjonction à Pluton et Mercure pendant que l’effet stressant est magnifié par l’opposition de Mars en maison 1 à Uranus en maison 6 ou 7 dépendant de la localité. Jupiter qui roule entre la maison 10 et 11 dépendant du pays, couronne le tout. Les quelques aspects favorables sont rendus inefficaces par interception en signes et maisons.

En langage simple : l’échiquier est monté pour le jeu, les ennemis se révèlent par des gestes impulsifs et des attitudes agressives, ce qui est en jeu sont les ressources de la Terre elles-mêmes! Il n’y en aura tout simplement pas assez pour tout le monde pour une raison ou une autre. Il y aura des disputes à savoir à qui appartiennent ces ressources, il y aura des difficultés de transport, il y aura des grèves et des protestations, et il y aura des crises sur le système de la santé publique associées aux tensions que vivent les gens. Une figure politique souffrira une mort subite, peut-être par accident de la route ou blessure à la tête, qui aura des répercussions sérieuses
pour toute la planète. Nous subirons une mauvaise passe.

Les Essences de Fleurs Bach qui pourront assister les intéressés :
pour Mars en Balance: Scleranthus, Uranus en Bélier: Cherry Plum et Impatiens, pour le stellium en Capricorne: Mimulus, Aspen et Rock Rose, Jupiter en Cancer: Clematis. Cette combinaison vous donnera de la clarté et des nerfs d’aciers. Maintenant Bonne Chance, C’EST PARTIE!!!

-LENA GHIO